Via Ferratas – on the paths of World War One

L'italien Alpini et l'autrichien Kaiserjäger ont écrit l'histoire tragique de la Première Guerre mondiale dans les Dolomites. Beaucoup d'entre eux sur le mont Lagazuoi, ce qui en fait une sorte de musée à ciel ouvert pour l'histoire de la guerre. De nombreuses positions de guerre, tunnels et ponts de la Première Guerre mondiale ont été restaurés ici - le plus intéressant est les tunnels rocheux dans la montagne. Pour cela, il est indispensable de se munir d'une lampe de poche et idéalement de gants !

Le chemin est plus adapté aux alpinistes expérimentés et passe devant des positions autrichiennes très bien conservées. Peu de temps avant la partie assurée (A/B) du chemin, vous pouvez également vous rendre dans les grottes et voir la cuisine et le dortoir d'origine des soldats de l'époque. Lorsque vous atteignez le rocher, vous continuez sécurisé avec des câbles métalliques. Le long pont suspendu est un véritable point culminant ici. Une fois au sommet, vous pouvez toujours profiter de la vue magnifique à 2 800 mètres. Il descend par le tunnel de la montagne. Très excitant.

Cette via ferrata d'une durée de 6 à 7 heures, de catégorie B/C, traverse entièrement une voie de ravitaillement que les Italiens utilisaient pendant la Première Guerre mondiale. Sur le chemin, vous marchez sur des sangles étroites, un pont suspendu cool et montez de belles échelles. La montée est très bien assurée. Il n'y a pas d'endroits pour s'arrêter en cours de route, alors prenez suffisamment d'eau et de provisions avec vous pour 6 à 8 heures d'escalade et de marche. Si vous allez à l'Ospitale, vous devez soit arriver avec 2 voitures (et en garer une au Gasthof Ospitale en descendant), soit utiliser les bonnes liaisons de bus depuis SAD et Dolomitibus.

Le petit Lagazuoi et Cellon n'ont rien à voir l'un avec l'autre. Le premier se situe dans les Dolomites près de Cortina en Italie et le Cellon dans les Alpes Carniques dans la vallée de Lesach (Autriche).

L'Alpinisteig est probablement l'une des ascensions des Dolomites les plus célèbres et en même temps les plus faciles car elle est "seulement" de catégorie A. Mais il ne faut pas sous-estimer cette transition dans les Dolomites de Sesto. Les Alpini, comme on appelait les troupes de montagne italiennes, ont construit le sentier et plus tard il a été agrandi pour nous, passionnés de montagne. Vous pouvez encore trouver des reliques d'antan, des restes de métal, des barbelés et aussi des bunkers dans lesquels vous pouvez entrer.

La montée est pour la plupart une randonnée facile qui passe par une vire assurée, mais elle descend aussi en pente raide et profonde, donc concentration totale. Chez nous, il y avait encore de la vieille neige dans les interstices. C'était glacial et dangereux, d'autant plus que le câble d'acier était souvent sous la neige et qu'on ne pouvait pas se sécuriser. Quelques mètres très "énervants". Sinon, la montée est également idéale pour les débutants sans vertiges et en bonne condition physique. La plus belle chose sur le chemin pour moi est la "Croix des Dolomites", la montée fait un crochet en U et quand vous vous tenez à l'intérieur et regardez à l'extérieur, vous avez un beau jeu d'ombre et de lumière devant vous. Dans l'ensemble, une belle montée qui nécessite également un peu d'endurance. Il est essentiel d'emporter suffisamment d'eau et de provisions, car y compris la montée et la descente, vous pouvez être sur la route pendant environ 9 heures.

Super via ferrata bien sécurisée, convient également aux débutants.

Une montée facile en partie assurée avec des cordes.

Une via ferrata d'une beauté fantastique avec une vue incomparable sur la Marmolada. Mais c'est certainement l'une des ascensions les plus difficiles des Dolomites. Il est très varié du nord au sud des rochers et vice-versa. En chemin, il traverse des crêtes, des ponts suspendus et surtout des tunnels datant de la guerre. Sur cette via ferrata, le mur d'entrée sépare le blé de l'ivraie, ce qui est un point D clair. La majorité de la via ferrata se déplace alors dans la zone C/D. Mais comme toujours - si vous avez du mal avec le mur d'entrée, ne le faites pas, car votre force sera moindre en cours de route. La plupart du chemin est très bien assuré et le rocher est facile à saisir, mais il y a quelques bandes d'herbe non sécurisées où il est interdit de glisser. En chemin, vous avez deux options pour descendre, ce qui est particulièrement conseillé en cas d'intempéries soudaines.

Vers la fin, le sentier s'étire un peu jusqu'au bivouac de Bontadini. Mais ici, vous avez une vue imprenable lorsque vous sortez du dernier tunnel long et impressionnant. Après une pause au bivouac, il redescend par la voie normale (n°680). Montée et descente comprises, comptez environ 8 heures de marche, prenez donc suffisamment d'eau et n'oubliez pas la lampe frontale pour les tunnels.

Cette via ferrata n'a en fait pas de positions de la Première Guerre mondiale, mais des positions qui étaient destinées à la Seconde Guerre mondiale. Au sommet à 2450 mètres il y a une position qui n'a jamais été utilisée. La D-via ferrata n'a été construite qu'en 2003 et mène dans un paysage magnifique avec beaucoup d'air en dessous jusqu'au tunnel de guerre à la sortie. Assurez-vous d'emporter une lampe frontale avec vous, puis vous pourrez grimper à travers la montagne via la "Galleria" sécurisée par des marches en fer et un câble en acier. La via ferrata dispose également d'une voie d'évacuation "Via di fuga", qui vous fera redescendre en toute sécurité dans le pire des cas.

Le De Luca-Innerkofler-Steig (difficulté B) a été construit pendant la Première Guerre mondiale et traverse également plusieurs centaines de mètres à l'intérieur de la montagne. Vous avez certainement besoin d'une lampe frontale ici, car certains des tunnels sont d'un noir absolu. Vous quittez le tunnel principal à la quatrième fenêtre rocheuse et vous vous dirigez vers l'entrée de la via ferrata proprement dite, qui est en grande partie sécurisée par un câble d'acier et vous mène presque jusqu'à la croix sommitale du Paternkofel. Les derniers mètres, vous passez sur un champ d'éboulis. Du sommet, vous avez une vue parfaite sur la célèbre face nord des Trois Pics. Stupéfiant. En raison du Drei Zinnen, de la cabane Auronzo adjacente et de la montée ingénieuse elle-même, il est bien sûr souvent surpeuplé. Une expérience tout simplement incroyable.

Une via ferrata À TRAVERS la montagne est quelque chose de différent - bien que les exigences techniques soient faibles, le "facteur d'aventure" est vraiment élevé. N'oubliez pas votre lampe frontale !