Par les Chemins : Le Larzac

There is something nauseating in the injunction to "get out of your comfort zone". With this formal notice, the rowdy marketers and other opinion influencers are shamelessly overturning values ​​to make people believe that the daily life of the sofa-TV series, soothing media, even social networks would be THE comfort!However, you just have to get out of this world of "opinioning" to find it. Comfort.Find comfort with Sainte Radegonde, Postmaster, depositary in her postoffice, of the Aveyronnaise baguette and nevertheless crispy.Seize this comfort by opening a new "ballast" route in the forest of Montclarat (a word that was rare before the 18th century, but which, for some obscure reason of stability, is preferred to the somewhat overused "gravel" route).You can also have the comfort of observing the Hogweed or the Rosehip covered with frost crystals awaiting their hour of spring glory.We can judge the comfort by experimenting with a "lunching" on the grass a stone's throw from Roquesquatres, the lungs full of fresh air and the landscapes in our eyes.We will even dare to conceive this comfort with a "souping" and a "sleeping" accommodation under the Pié de Barry. And of course the "firing" of wood will be part of it.Some, like the UCI and the marketing directors of major bike-related brands, would like to turn it all into a bicy race, with rules, standards, principles, formulas and, of course, protocols.
Because it is impossible to talk about the sea to the frog that lives in a well, we prefer to tell them to cook their rump on bramble embers!We will continue to sleep a turn of the dial if we like, to watch the sun rise over the morning mists for as long as is necessary for our happiness, and we will never hesitate to take a detour towards the Toulières just "because", just for nothing.The kiss of Larzac by Brotherd & Brothert(Il y a dans l'injonction à "sortir de sa zone de confort" quelque chose de nauséabond.
Avec cette mise en demeure, les tapageurs du marketing et autres influenceurs d'opinion sans vergogne renversent les valeurs pour faire croire que le quotidien du canapé-sériesTV, des médias lénifiants, voire des réseaux sociaux serait LE confort !Il suffit pourtant de sortir de ce monde "d'opinioning" pour le trouver. Le confort. Trouver le confort auprès de Sainte Radegonde, Postière dépositaire, dans son office à recommandés, de la baguette aveyronnaise et néanmoins croustillante. Saisir ce confort en ouvrant dans la forêt de Montclarat une nouvelle voie "ballast" (mot rare avant le XVIIIe siècle, mais que, pour une obscure raison de stabilité, l'on préfèrera à celui un peu trop emprunté de "gravel").On peut aussi l'avoir le confort en observant la Berce ou le Cynorhodon recouverts de cristaux de givre attendant leur heure de gloire printanière.On peut juger du confortable en expérimentant un "déjeuning" sur l'herbe à deux pas du Roquesquatres, les poumons plein d'air frais et les yeux de paysages.On osera même le concevoir ce confort avec un souping et un dorming sous le Pié de Barry. Et bien sur le firing de bois sera de la partie.Certains, comme l'UCI et les directeurs marketing des grandes enseignes liées au vélo, voudraient transformer tous ça en course de bicy, avec du règlement, de la norme, du principe, de la formule et, bien sûr, du protocole.
Parce qu'il est impossible de parler de la mer à la grenouille qui habite dans un puits, on préfère leur dire de se faire cuire le fondement sur des braises de roncier !Nous, on continuera de dormir un tour de cadran si ça nous chante, de regarder le soleil se lever sur les brumes matinales autant de temps qu'il sera nécessaire à notre bonheur, et nous n'hésiterons jamais à faire un détour du coté des Toulières juste "parce que", juste pour rien.Le bisou du Larzac by Brotherd & Brothert.).Un aperçu du trajet :