Jakobskapelle

La Jakobskapelle a été reconstruite en 1859 et se trouve à proximité de la St. Jakobsquelle. Origine 1464 (voir tableau pour les dates).

Chapelle Saint-Jacob
L'existence d'ermites à proximité de la chapelle et de la source thermale sur le versant nord du Kronberg n'est pas certaine pour le Haut Moyen Âge. Le bâtiment de l'église n'est mentionné de manière définitive qu'en 1464, lorsqu'il fut permis de lire des messes sur un autel de support. En 1492, l'autorisation épiscopale de Constance fut étendue à la célébration de messes en plein air, ce qui suggère des pèlerinages et donc quelque chose qui s'apparente au tourisme. Les célébrations avaient lieu principalement les jours de commémoration des patrons de la chapelle, les saints apôtres Jacob l'Ancien (25 juillet) et Barthélemy (24 août), qui n'étaient documentés qu'en 1620. En raison des dégâts causés par l'humidité, une nouvelle Jakobskapelle a été construite en 1925 à un autre endroit, sur la crête orientale du Kronberg.
Les pèlerinages n'étaient pas seulement organisés à la source froide et curative et à Saint-Jacques, mais des événements profanes ont également été documentés très tôt sur ces hauteurs élevées. Il existe des témoignages d'un «Stobete» à Jakobi sur Scheidegg en 1666, qui devait être si drôle que des filles et des jeunes femmes d'Appenzell furent poursuivies devant le conseil, également parce qu'elles n'avaient pas enseigné aux enfants.
Texte / Source : Luftseilbahn Jakobsbad-Kronberg AG, St. Josefstrasse 2 · 9108 Jakobsbad
kronberg.ch/de/unternehmen/geschichte.html

Déjà dans le 15 St. James a été vénéré ici au 19ème siècle.

Les débuts du culte de Jacques à l'endroit sont liés à une légende : Selon cela, l'apôtre aurait jeté avec force ses bâtons de marche loin de Saint-Jacques-de-Compostelle, et ils sont tombés sur Kronberg. Ceci explique l'origine des deux bâtons de pèlerin aux couleurs rouge et jaune (couleurs nationales espagnoles !).