Die stummen Frösche von Schwante

Schwante près d'Oranienburg est le siège noble de la famille von Redern. La région environnante est extrêmement riche en grenouilles, car il y en a beaucoup dans les forêts étendues proches des marais.

À un moment donné, Herr von Redern était gravement malade, et comme les grenouilles faisaient un bruit étrange avec leurs cris, surtout la nuit, le patient ne pouvait pas dormir la nuit et son état empirait de plus en plus. Un jour, un pauvre homme est entré dans la maison et a mendié. La femme noble lui a donné une offrande de sa propre main et a pleuré. Alors le pauvre homme a demandé pourquoi elle pleurait, et elle lui a dit que son mari était si malade et qu'il ne pouvait pas aller mieux parce que les grenouilles qui pleuraient ne lui permettaient pas de dormir une minute. Alors le mendiant dit : Si le gentilhomme peut être aidé en gardant les grenouilles silencieuses, alors il faut l'aider. S'il pouvait faire un tel miracle, on lui promettait un sac entier de grains, aussi lourd qu'il pouvait le porter lui-même. Maintenant, le mendiant sortit du château, en fit le tour dans un large rayon, aussi loin que seule la voix d'une grenouille pouvait retentir et être entendue, et utilisa son art secret. Et voici, le grand rugissement des grenouilles s'est arrêté et personne n'a rouvert la bouche, et le noble s'est endormi et a récupéré; et le pauvre homme a rempli son sac de seigle et a dit en se séparant: Cela fera du bien pendant cent ans, pas plus - alors laissez les autres voir ce qu'ils peuvent faire.

Les grenouilles sont encore silencieuses à Schwante, ce qui les agace beaucoup, les cent ans ne sont pas encore terminés, mais bientôt. De temps en temps l'un ou l'autre commence à chercher s'il y a encore une voix, mais se rend vite compte que ce n'est pas encore l'heure et reste silencieux. Mais quand les cent ans seront écoulés, mon Dieu, quel amusement et quel festin il y aura parmi les grenouilles ! Schwante, alors réjouis-toi !

Source : sternchenland.com/maerchen/bechstein-ludwig/deutsches-sagenbuch/355-die-stummen-froesche