La pierre du diable Vilseck

Il existe également une légende correspondante sur le Teufelstein :« Le diable s'était fatigué une nuit de Walburgis sur le chemin de Blocksberg ; il s'assit donc pour se reposer sur le toit plat du clocher de l'église de Vilseck, qui se trouvait juste en dessous de lui. De là, la vieille tour pourrie s'est effondrée, et les Vilsecker ont dû en construire une nouvelle, mais ils l'ont rendue d'autant plus pointue que la première était émoussée pour que le diable ne puisse plus s'y reposer. Ainsi, le Vilsecker Thurm est devenu le plus pointu de tout le Haut-Palatinat. Cela agaçait le diable, bien sûr ; il a pris un morceau de pierre sur sa tête et l'a porté à Vilseck pour casser le bâtiment. C'est dans la forêt de Vilseck qu'il a vu une vieille femme, un cordonnier et en même temps Vilseckerbötin, en route pour Hahnbach. Il leur a demandé jusqu'où il lui restait jusqu'à Vilseck, qu'il a dû jeter dans la tour là-bas.Alors la vieille femme ouvrit son Zegerer plein de vieilles chaussures éparpillées et répondit : « Jusqu'ici j'ai déjà fermé toutes ces chaussures ; je viens de sortir de là. "Je ne peux plus porter la pierre aussi loin", cria le diable, plein de colère, et jeta le morceau de pierre avec une telle force que les éclats, pesant quelques centimètres, sont encore aujourd'hui dispersés dans la forêt. Mais la pierre principale, grosse comme une ferme, est tombée sur une colline au milieu de la forêt ; il montre encore les traces du porteur, les marmots et la tête, cette dernière grosse comme un gros mouton d'eau. C'est la pierre du diable. Tout autour du sol sonne creux ; d'où la légende qu'un village a péri ici.En mémoire d'une vieille femme trompant le diable, une croix en bois a été érigée sur la colline, d'où elle porte le nom de Kreuzberg. Maintenant, il y a une petite église là-bas."