Projekt "Städte wagen Wildnis"

La ville de Hanovre s'efforce depuis des années d'accroître la diversité biologique, entre autres grâce à une sylviculture proche de la nature, un programme de renaturation de l'eau, la promotion de l'agriculture écologique et à travers le programme thématique « Plus de nature en ville ». Le projet « Les villes osent la nature sauvage » s'intègre dans le programme global de Hanovre « Plus de nature en ville ». Une nouvelle façon d'aborder les espaces verts en milieu urbain, tournée vers l'avenir, est à l'essai. La nature bénéficie de plus d'espace pour le développement, car les travaux d'entretien (tels que la tonte, l'élagage des arbres, etc.) sont effectués moins souvent ou complètement arrêtés, selon les zones. Onze zones de projet différentes ont été sélectionnées pour le projet de Hanovre, qui sont réparties sur l'ensemble de la ville. Il s'agit notamment d'espaces verts à proximité des agglomérations, de corridors verts et de zones de jachère (attribution), chacun avec un accent différent sur le développement souhaité de la nature sauvage. En outre, deux zones au sein de la forêt urbaine ont été sélectionnées, où un développement forestier naturel a été fixé comme objectif, qui doit être présenté au public de manière compréhensible.

Si vous voulez répondre à l'appel de la nature, vous n'avez pas forcément à parcourir de longues distances. Un trajet en tramway jusqu'à l'arrêt de tramway « Am Mittelfelde » et vous atteignez déjà l'une des dix « zones de nature sauvage » urbaines sélectionnées pour le projet « Les villes osent la nature sauvage ». A Hanovre, le « wilderness » a été aménagé avec divers moyens sur ces espaces de la ville depuis 2016 afin d'augmenter la biodiversité sur place. Ces zones du projet dans la zone urbaine de Hanovre, y compris sur la Rampenstrasse et Lindener Berg ainsi que sur une connexion verte le long du Laher Graben à Bothfeld-Vahrenheide, ont de nouveaux ambassadeurs : environ 30 centimètres de long, artistiquement conçus, des « cloportes » métalliques . Ces marquages très particuliers ont été développés par le studio "LandArt" à Hanovre. En raison de leurs couleurs de signalisation en rouge orangé, ils sont faciles à voir de loin. Le projet « Les villes osent la nature sauvage » fait partie du projet commun du même nom, auquel participent, outre Hanovre, les villes de Dessau-Roßlau et de Francfort-sur-le-Main depuis 2016. Dans les trois villes, plus de nature sauvage a été autorisée à se développer dans la ville depuis lors. Le projet est soutenu scientifiquement sur tous les sites.

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Une très bonne idée