Rochuskirche in Düsseldorf-Pempelfort

La Rochuskirche, construite à l'origine en 1894 dans un style néo-roman, a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale et est d'abord restée en ruines.
En 1953, l'église est détruite. La tour a été restaurée, les poteaux métalliques visibles aujourd'hui sur les photos rappellent les dimensions de l'ancien drakkar.
Le nouveau bâtiment frappant de 1954 a été considéré comme l'un des nouveaux bâtiments d'église les plus radicaux après la guerre.
Plus sur: https: //de.wikipedia.org/wiki/Rochuskirche_ (D% C3% BCsseldorf)

Lorsqu'en 1949, ils entreprirent de reconstruire l'église Saint-Rochus, à moitié détruite pendant la guerre, le pasteur Dohr et son architecte Schneider-Esleben s'accordèrent rapidement sur le fait que l'édifice néo-roman au design médiéval ne semblait plus au goût du jour. Ils ont donc planifié un tout nouveau bâtiment sous des formes symboliques, qui devrait permettre une déclaration religieuse du Christ, l'Église du Christ et de Dieu.La forme en œuf de la coupole était destinée à exprimer symboliquement la résurrection du Christ, comme l'œuf était déjà compris par les théologiens du Moyen Âge. Les douze piliers sur lesquels repose le dôme pourraient désigner les douze apôtres comme le fondement de la foi chrétienne, une tradition dans la construction d'églises qui est courante depuis la cathédrale de Spire. Après tout, la forme à trois passes devrait être décisive dans le contour et l'élévation, car cette forme est capable de représenter symboliquement la trinité de Dieu.Ces trois formes symboliques se retrouvent dans le bâtiment de l'église, achevé en 1955 : trois coquilles spatiales paraboliques s'unissent pour former un dôme ovoïde. Leurs coutures dans la verticale montrent trois bandes lumineuses étroites, entre lesquelles les coquilles du dôme se balancent pour se resserrer à nouveau sur les bandes lumineuses. La faible zone de contact est également incluse dans le rythme du renflement et de la constriction. Un autre changement rythmique a lieu dans la hauteur légèrement ascendante et descendante de la marche. Cela exprime des structures de vitalité organique qui, avec la géométrie précise des formes paraboliques, façonnent l'architecture de l'église.
(Source kath-derendorf-pempelfort.de/wir/kirchen/sankt-rochus/)

Toujours une allure impressionnante, avec l'entrée rappelant un bunker.