Plastik von Peter Lenk "Badische Revolution"

Une immense œuvre d'art sur la place du marché rappelle la petite révolution badoise de 1848, à laquelle seuls deux citoyens et un chien de Schopfheim se sont joints.

Lorsque le train du révolutionnaire Friedrich Hecker avec 800 volontaires est arrivé dans la ville le 18 avril 1848, les habitants étaient tout sauf enthousiastes.Leur chef, Hecker, a prononcé un discours sur le balcon de la mairie pour stimuler le zèle révolutionnaire des habitants.
Seuls deux citoyens ont suivi les insurgés. "Les sacs d'argent de Schopfheim", se souviendra plus tard Struve, "n'étaient nullement enclins à sacrifier une partie de leurs biens, encore moins une goutte de leur précieux sang, à la cause du peuple".Inauguration à Schopfheim
Doter une telle ville d'un monument à la Révolution badoise relève, pourrait-on dire, d'une ruse carrément diabolique...
Extrait du journal de Stuttgart du 4 octobre 2004