Le terril en mutation (aire de repos)

Nous ne perdons de vue qu'un instant la Boye, la retrouvons après un virage et la reconnaissons à peine. Son visage change tellement sur le court parcours de seulement 13 kilomètres.Les mesures de reconversion sont incontournables et les clôtures du site continuent de bouger. Les amas de gauche et de droite indiquent bien qu'ici, près de l'embouchure de l'Emscher, la Boye ne sera jamais aussi libre qu'à sa source. Mais ici aussi, le lit et les berges de la rivière, qui ont été libérés du béton, et la suppression des barrières existantes assurent un espace de vie nouveau et perméable.Comme c'est toujours le cas dans la nature, des spécialistes qui peuvent bien faire face aux conditions viendront s'installer dans ces créneaux. Les jeunes bouleaux, qui ont déjà conquis les tas tout autour, montrent comment c'est fait : eglv.de/medien/renaturierung-der-boye-tritt-weiter-voran.

Le tas en transition a été l'un des premiers tas à être développé à l'époque. Entre-temps, il a été reconstruit à nouveau, mais cela vaut toujours la peine d'être monté, même s'il y a de plus beaux tas...

superbe piste cyclable le long de la Boye