Militärfriedhof

Les cimetières militaires ne sont pas toujours situés sur le théâtre même de la guerre. Certains de ces sites sont des lieux de sépulture séparés au sein de cimetières civils. Les sépultures de soldats se trouvent souvent dans une connexion spatiale avec des camps de prisonniers de guerre ou des hôpitaux militaires. Certains des morts ont également été ramenés dans leur patrie et y ont été enterrés dans des cimetières d'honneur. Selon la tradition britannique, les épaves peuvent également être déclarées tombes de guerre et bénéficier ainsi du statut de protection spéciale des Conventions de Genève.de.wikipedia.org/wiki/Soldatenfriedhof

L'ancien cimetière militaire, vestige de l'époque où Nuremberg était une ville de garnison, est directement relié au cimetière Saint-Rochus.
L'usine remonte à un cadeau du lieutenant de la ville de Nuremberg et brasseur de bière rouge Lorenz Schmiedlein. En 1689, il fit don de 150 florins "à la garnison locale et aux soldats pour la construction d'un cimetière et du champ de Dieu, de sorte qu'il fut en grande partie fermé au cimetière Saint-Rochus contre le Schanz". En mai 1693, le War Office de la Cité impériale acheta le triangle de terrain allongé entre le cimetière Saint-Rochus et les remparts de la guerre de Trente Ans (aujourd'hui Imhoffstraße) conformément aux souhaits du fondateur, et le cimetière militaire fut inauguré à l'automne de la même année. Le contexte social était de donner aux soldats mal payés et à leurs familles une opportunité bon marché pour leurs funérailles. Même après que Nuremberg soit devenue bavaroise en 1806, le cimetière est resté une institution sociale. Il n'y avait pas de frais de creusement, juste les frais de fossoyeur militaire local. La capacité du cimetière était de 550 tombes, la période d'occupation, dite « période de rotation », de 10 ans. Pendant la Première Guerre mondiale, le petit cimetière ne suffisait plus au grand nombre de soldats tombés, c'est pourquoi une nouvelle nécropole pour les soldats a été créée dans le cimetière sud. Les dernières inhumations ont eu lieu en 1918. Après la dissolution de l'armée bavaroise en 1919, l'ancien cimetière militaire a été fermé. Le 4 mars 1924, la ville acquiert le site avec tous droits et obligations.Source : bayern-online.de/nuernberg/erleben/sehenswuerdigkeit/militaerfriedhof

Dans une partie du cimetière du Rochus se trouvent des tombes de soldats du XVIIe au XXe siècle