Antonius – Schutzpatron von Ellscheid

L'Antoniusweg commence à la statue en bronze de Saint Antoine avec les mignons cochons d'Ellscheid. Antonius lui-même est le saint patron de la belle place du Vulkaneifel.

Le long du sentier du village, vous trouverez d'autres statues en bronze avec des panneaux d'information qui vous racontent l'histoire.

Une partie de la visite du village conçue avec amour

<< Antoine - notre saint patron >>
"Je suis né vers 250 après JC à Kome (Egypte). Touché par un passage de l'Evangile de Matthieu (Matthieu 19:21), j'ai vendu mes biens et je suis devenu un ermite. Des disciples se sont rassemblés autour de moi et de nombreux ermitages se sont formés Alors je me suis tenu au début de la vie monastique et je suis appelé "père du monachisme". La forme de monachisme que j'ai façonnée est basée sur l'ascèse et l'isolement.
L'Ordre d'Antoniter, nommé d'après moi, préférait élever des porcs, qui étaient autorisés à se promener librement pour s'occuper des pauvres. Les porcs ont été bénis à l'église le 17 janvier, puis abattus et la viande distribuée aux pauvres.
Mes attributs sont le cochon et la cloche du mendiant. Je suis le patron des animaux domestiques, en particulier des cochons.
Je suis le saint patron de l'église d'Ellscheider. Ma fête patronale est le 17 janvier. De nombreuses processions se rendaient à Ellscheid ce jour-là. Les pèlerins ont demandé la protection de leur bétail et ont fait un don dans le sac de collecte. Après la Sainte Messe, ils sont allés chez des parents et des connaissances pour prendre un café et un gâteau.
Le week-end près de la Saint-Antoine, les habitants d'Ellscheid célèbrent leur foire. Le dimanche de la foire était autrefois un grand jour de fête. Les proches étaient invités à la fête. De nombreux invités de la foire se sont retrouvés au pub du village pour une pinte matinale. Lors de la danse, d'abord sous le chapiteau à côté de l'auberge de Müller Eduard, puis dans la caserne de l'auberge 'Weiler', plus tard 'Kalitzki' et ensuite dans le centre communautaire, il y avait toujours beaucoup de monde. C'était une bonne journée pour l'aubergiste. Aujourd'hui, il n'y a de danse au centre communautaire que le samedi soir."
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