Snorrabüd (Snorri's Booth)

Cabines
VOICI SNORRABUD (Snorri's Booth), l'un des stands les plus visibles de Þingvellir, du nom du chef Saga-age Snorri Porimsson. Au XIXe siècle, le poète romantique Jónas Hallgrimsson (1807-1845) a écrit dans son poème Island (Islande) une traduction en vers par Dick Ringler.Des traces envahies de bâtiments sont visibles sur le site parlementaire de Þingvelli. Il s'agit de vestiges d'abris ou de "cabines" dans lesquelles les gens séjournaient chaque été pendant la session de deux semaines de l'Alpingi (Assemblée générale). Des traces d'environ 50 stands ont été trouvées, le long des deux rives de la rivière Öxará et sur la pente de l'hôtel Valhöll.De nouveaux kiosques étaient invariablement construits au-dessus des vestiges des plus anciens. Ainsi, les vestiges visibles que nous voyons aujourd'hui datent pour la plupart des deux derniers siècles de l'Alpingi à Þingvellir, les XVIIe et XVIIIe siècles. La forme précise des cabines n'est pas connue, mais les murs étaient probablement construits de roche et de gazon, et recouverts de tissu drapé sur une charpente en bois. On sait peu de choses sur les cabines de l'ère du Commonwealth (930-1262/64), mais des sources écrites indiquent qu'elles étaient souvent grandes et rapprochées. Le code de loi Grágás (Greylag) du XIIe siècle et les sagas des Islandais fournissent des preuves sur les stands, par ex. que les goðar (chefs) doivent recouvrir la cabine avec un tissu de laine et qu'ils doivent fournir un logement dans des cabines à leurs partisans.Des abris temporaires et des tentes de toutes sortes ont également été érigés par les visiteurs de l'Alþingi. Les cabines des derniers jours étaient probablement plus petites que celles des siècles précédents, car la fonction de l'Alþingi est passée de celle d'une assemblée législative à une simple cour de justice,Source : signalisation locale

Grand parc national avec ses belles vues.