Procession de la Fête-Dieu

Solemnitas Sanctissimi Corporis et Sanguinis Christi [2], sueur. Corpus Christi [3] - une célébration liturgique dans l'Église catholique pour célébrer Jésus-Christ dans le Saint-Sacrement, est célébrée le jeudi après l'octave de la Pentecôte [3], et en Italie le dimanche après la célébration de la Sainte Trinité [4] [5]. C'est un jour saint d'obligation[6]. Pour la première fois, la fête est célébrée à Leodium (Liège) en 1246, et en 1317 elle est érigée en fête pour toute l'Église d'Occident. En Pologne, il a été introduit par l'évêque de Cracovie Nanker lors du synode de Cracovie en 1320[3]. Dans l'Église uniate, la fête a été introduite au Synode de Zamość en 1720[1]. La forme extérieure de la fête sont des processions menées à 4 autels. L'ostensoir avec le Saint-Sacrement est porté en procession. A la fin, une bénédiction sacramentelle solennelle est donnée[3].
pl.wikipedia.org/wiki/Uroczysto%C5%9B%C4%87_Naj%C5%9Bwi%C4%99tsze_Body%C5%82a_i_Blood_Christ

Les processions théophoriques n'étaient pas un élément de la fête dès le début. La plus ancienne mention de leur existence était l'information sur les processions solennelles effectuées dans les années 1265-1275 avant les sommes à Cologne, au cours desquelles la croix et le Saint-Sacrement étaient portés. Une telle célébration était une référence aux coutumes antérieures d'emmener l'Eucharistie avec soi en voyage pour se protéger des dangers[1]. La forme originale de la procession s'exprimait dans un passage simple et ininterrompu avec le Saint-Sacrement et une bénédiction à la fin. En Allemagne, il était associé à une procession à travers les champs d'un village ou d'une ville environnante. Les fidèles s'arrêtaient à quatre stations où les fidèles étaient bénis, et les champs recevaient une bénédiction " météo ". Aux stations individuelles, les premières parties des quatre évangiles ont été lues, qui sont devenues des formules de bénédiction. Le rite a été complété par une bénédiction sacramentelle, qui a été donnée à des stations individuelles, et en plus - à la fin de la procession[2]. Les processions allemandes contenaient un élément de supplication pour la protection contre le malheur et pour un temps favorable. Pour cette raison, le chant des premiers fragments de l'Evangile aux quatre autels et la bénédiction solennelle ont été inclus dans la procession[1][21]. Cette coutume a atteint la Pologne au XVe siècle et en 1631, elle a été introduite dans le rite Piotrkowski[21