Älteste Kornbrennerei von Haselünne

La distillerie de céréales privée H. Heydt de Haselünne est synonyme de spiritueux de haute qualité de l'Emsland depuis 1860 et impressionne par ses spécialités de céréales.

La distillerie de céréales Berentzen 1758–1988Le groupe Berentzen actuel trouve son origine dans plusieurs entreprises familiales. La plus ancienne, la distillerie de céréales I. B. Berentzen (« J. B. Berentzen »), a été fondée en 1758 par le conseiller Johann Bernhard Tobias Berentzen (* 2 avril 1718, † 18 décembre 1798) à Haselünne, Emsland. A cette époque, il y avait déjà 25 autres « fuselbrennes » à Haselünne, comme le montre le procès-verbal d'une visite judiciaire en 1758.Le nom de famille a été protégé par le droit des marques en 1899 par l'enregistrement de Kornbrand Berentzen vom alten Fass en tant que marque. En 1958, la société Emsland-Getränke GmbH est fondée et commence à vendre des boissons non alcoolisées. En 1960, la concession de Pepsi-Cola en Allemagne est acquise.Une avancée majeure dans l'histoire de l'entreprise a été l'introduction de l'« Apfelkorn » (boisson mélangée à base de grains de blé et de jus de pomme) en 1976 par les frères Friedrich et Hans Berentzen.

Création du groupe Berentzen et introduction en bourseEn 1988, le groupe Berentzen est né de la fusion avec la distillerie de vin Pabst & Richarz et est devenu la deuxième plus grande entreprise de spiritueux d'Allemagne. Les racines de Pabst et Richarz remontent au 19e siècle : en 1861, Wilhelm Josef Richarz commença à distiller du vin à Königswinter ; En 1898, Hermann Pabst fonde un caviste à Düsseldorf, qui sera ensuite suivi d'une distillerie. Les deux entreprises familiales fusionnent en 1969.En 1994, le groupe Berentzen était le seul fabricant allemand de spiritueux à oser s'introduire en bourse. En conséquence, Berentzen a racheté de nombreuses entreprises du secteur des spiritueux, dont Strothmann (1996) et Dethleffsen (1999). Alors que les actions ordinaires avec droit de vote étaient entre les mains des familles propriétaires, de nombreux investisseurs ont acheté les actions privilégiées sans droit de vote en bourse.