Burgfriedensäule XIII von 1724

À peine à une centaine de mètres du Monopteros se trouve une borne de la deuxième trêve (=zone de juridiction municipale), qui fut en vigueur de 1724 à 1846 et remplaça la première zone de trêve (1460 à 1724). Des balises ont été placées entre le pont Luitpold et le pont Max Joseph et la frontière s'est ensuite tournée vers l'ouest à partir du nord des deux. Afin de marquer clairement la nouvelle frontière nord-est, deux colonnes étaient nécessaires : l'une à Hirschanger, qui n'a pas été conservée, et l'autre à l'emplacement actuel.
La colonne Burgfrieden porte l'année 1724, le numéro et l'enfant munichois en relief. Visuellement, elle diffère considérablement des anciennes colonnes de Burgfrieden, comme la colonne numéro 3 près de Theresienwiese. Le numéro de la colonne n'est pas clair. D'après le décompte original, il s'agit probablement du numéro 13, peut-être plus tard (après une renumérotation) du numéro 12.
muenchen.im-bild.org/fotos/gedenksteine-staetten/burgfriedensaeule-nr-12

Chroniques de la paix [hist. Burgfrieden(s)stein] sont d'anciens panneaux de frontière qui étaient installés comme bornes à certains endroits de la zone autour d'une ville ou d'un château. L'étendue spatiale d'un château de paix était déterminée par les pierres. Seuls quelques-uns de ces petits monuments existent encore. Dans la zone de la ville de Landshut, 26 des 43 emplacements identifiés ont été préservés. Un certain nombre de différends historiques avec la Bavière sont connus au sujet des piliers de la ville de Ratisbonne. Parmi les cinq colonnes conservées à Munich, seules celles du Jardin anglais et celles de la Theresienwiese se trouvent encore à leur emplacement d'origine.Source et informations complémentaires
de.m.wikipedia.org/wiki/Burgfriedens%C3%A4ule

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