Altes Sägegatter "Andresn Sog"

Un témoin silencieux du savoir-faire de nos ancêtresQui en étaient autrefois les propriétaires ? Et quel est le problème avec la propriété ? En tant que scieur expérimenté, il a naturellement tout de suite su que le monstre était un vieux cadre dans lequel des bûches étaient autrefois soulevées et coupées en planches. Les lames de scie sont également toujours là – disposées verticalement et fonctionnellement serrées à intervalles appropriés. Ils sont bien conservés – comme s’ils allaient reprendre leur mouvement demain.Le portail se dresse sur la Saußwasser comme un témoin silencieux qui nous rappelle le savoir-faire de nos ancêtres. De leur vie quotidienne, de leurs habitudes, de leur travail acharné et de leurs efforts quotidiens. Malheureusement, aucune photographie de cela n'a pu être trouvée.

Marianne Geis nous raconteCependant, Marianne Geis d'Annthal peut apporter des connaissances et des souvenirs intéressants à cette histoire. Elle aime parler du bon vieux temps, comme elle le dit. Et elle a aussi quelque chose à dire sur l'ancien « Andresn-Sog », comme la scierie a toujours été appelée par les locaux. Geis a passé son enfance dans la propriété voisine de Waldsäge. Le nom « Andresn-Sog » (c'est-à-dire Andreas saw) remonte à Andreas Stadler, qui y travailla de 1835 à 1901 et vécut avec son épouse Josefa (1868 – 1901).
Leur fils, né en 1886, prit le prénom de son père et mourut en 1926. Sa femme s'appelait Katharina, comme le raconte Marianne Geis. La propriété et le « sog » associé furent ensuite transférés à son descendant Xaver Stadler. Il est resté célibataire et était un « homme très riche, le plus riche du monde ». Il aurait conservé son excédent d'argent dans une boîte et l'aurait enterré dans la forêt voisine de Kreuzberg pour des raisons de sécurité.

Leopold Geis était « bon enfant et en fait trop bon »Comme il n'y avait pas de descendance, Leopold Geis (né en 1908) reçut la propriété en tant qu'employé de la scierie. Il était l'oncle de Marianne Geis d'Annthal. «C'était le dernier Sagler à gagner sa vie là-bas», se souvient-elle. De l'avant-guerre jusqu'aux années 1950, il travaille dans la salle de sciage avec quelques assistants. Il préparait des planches et des poutres pour les besoins de construction de la population. Il est décédé en 2000 et a passé ses dernières années dans une maison de retraite à Freyung, à proximité." Léopold vivait comme une personne assidue et travailleuse ", raconte sa nièce et ajoute : " Il était serviable, toujours là pour les autres, bon enfant et en fait trop sage. " Et elle continue en disant que c'est pour cela que les gens de la région profitaient souvent de lui.