Am Steller See

En raison de sols pauvres en nutriments et d'un emplacement ensoleillé et sec, un habitat pour de nombreuses espèces animales et végétales menacées s'est développé ici.

voici le grand paysage de savane de Seevengeti

En fait, les prairies pauvres en éléments nutritifs, les buissons épineux et les zones sablonneuses ouvertes rappellent davantage les steppes de l'Afrique de l'Est que le paysage typique des marais de l'Elbe. Cette "steppe" de 10 hectares (ou petite) a été créée lors de la construction de la gare de triage de Maschen dans les années 1970. La roche et le sol inutilisable ont été entassés sur la zone de l'actuel Seevengeti sur le lac Steller et laissés à la nature. Ils ont accepté l'offre avec plaisir et ont créé des habitats atypiques pour cette région, mais donc d'autant plus précieux, par ex. B. pour les insectes rares, les oiseaux et les plantes.
Un problème au fil du temps était la croissance dense des bouleaux, qui est devenue une menace pour ce joyau. Des travaux de défrichage réguliers par des défenseurs de la nature engagés ont entraîné une lutte contre les moulins à vent et de nouvelles idées étaient nécessaires pour protéger plus efficacement cette zone de la prolifération.

L'inspiration décisive est venue du Serengeti en Tanzanie : là, les arbres et les buissons, malgré leurs épines et leurs piquants, sont incapables de dominer la savane. Les troupeaux d'herbivores tels que les buffles, les zèbres et les antilopes en sont responsables. Leur comportement de pâturage assure un équilibre qui profite à tous les habitants de cet habitat.

Il devait en être de même avec Maschen – l'idée d'un « Seevengeti » était née.
Un paradis pour la pie-grièche écorcheur.
Maintenant, il n'y a plus de zèbres et d'antilopes qui courent là-bas, mais le bétail fait son travail. Ils repoussent les buissons et les arbres bourgeonnants et utilisent leurs sabots pour s'assurer que le sol sablonneux ouvert se développe et y reste. Cela ne signifie pas que la zone est "sans arbres" - en particulier les arbres épineux et les vieux chênes à l'écorce plus épaisse survivent à ce processus et remplissent leurs tâches dans le cadre de ce paysage naturel.

Une plate-forme d'observation permet d'avoir une vue sur ce biotope en constante évolution - après tout, personne ne dit au bétail où il doit manger et piétiner ! Le Steller See, sur lequel les pygargues à queue blanche aiment tourner, est également bon.
Source : nabu-winsen-luhe.de/projects/seevengeti