Burg Pappenheim mit Bergfried und Jagdmuseum

Le château de Pappenheim domine la ville - sans aucun doute l'un des châteaux chevaliers les plus importants de Bavière. Les ruines du château sont encore aujourd'hui très bien conservées et peuvent être largement explorées. Depuis les tours et le mur défensif, vous pourrez profiter d'une vue magnifique sur la ville et le paysage, dans les salles vous pourrez vous immerger dans la vie médiévale et dans le musée de la nature et de la chasse, vous pourrez en apprendre beaucoup sur le monde animal de l'Altmühltal.

Horaires d'ouvertures:
Fin mars à début novembre
fermé le lundi
Du mardi au dimanche de 10h à 17h

Entrée:
Adultes : 5 euros
Enfants : 4 euros

Vous pouvez trouver plus d'informations sur grafschaft-pappenheim.de/burg.

L'emplacement du château de Pappenheim à lui seul vaut la peine d'être visité. Le château est situé sur une colline au-dessus d'une boucle de l'Altmühl et de là, vous avez une vue magnifique sur la vallée de l'Altmühl. Le musée de la nature et de la chasse est également situé dans le parc du château.

Source / plus d'infos :
naturpark-altmuehltal.de/sehenswerte/burg_pappenheim-1967

Château de Pappenheim
Depuis le donjon, vous avez une vue magnifique sur la ville et le paysage enchanteur. Le château, porte d'entrée de l'Altmühltal, est la demeure ancestrale des comtes de Pappenheim, autrefois maréchaux héréditaires du Saint-Empire romain germanique. Le membre le plus célèbre de cette famille est Gottfried Heinrich Graf zu Pappenheim, également appelé « Schrammhans » en raison des nombreuses cicatrices qu'il a acquises au combat. Il combattit sous les ordres de Wallenstein pendant la guerre de 30 ans et fut mortellement blessé lors de la bataille de Lützen, au cours de laquelle le roi suédois Gustav-Adolf trouva également la mort. Schiller a fait connaître le nom de Pappenheim grâce à son œuvre « Wallenstein » en mettant dans la bouche du commandant la phrase « C'est ainsi que je reconnais mes Pappenheimers ». Cette phrase ne symbolisait pas seulement le courage et la bravoure des cuirassiers de Pappenheim, que commandait le comte Pappenheim, mais aussi leur loyauté envers le roi et leur sincérité. Aujourd'hui, la phrase est davantage vendue sous sa forme originale