Trappen of stappen langs het WESTFRONT '14 - '18

Merci aux CANADIENS pour votre courage et votre persévérance!
Le 2 juin 1916, de féroces batailles eurent lieu entre Allemands et Canadiens pour ce lieu relativement calme au début de la guerre. Les Allemands auraient pu s'emparer de la colline stratégiquement importante. Les sommets des collines étaient des endroits très importants car ils offraient une vue sur le terrain. Le 13 juin, ce sommet est repris par les Canadiens après une bataille acharnée. Ce sommet resta désormais en possession des Canadiens. Le complexe de tranchées a été amélioré et agrandi avec des constructions souterraines.
Lorsque vous visitez cet endroit, il est préférable de porter des chaussures imperméables.
Certainement faire est le passage souterrain sur le site.
Au bout du système de tranchées, vous avez une belle vue sur la ville d'Ypres. Quand à ce stade, vous réalisez à quel point les sommets des collines étaient importants en première ligne.
N'oubliez pas de visiter le cimetière voisin = autour de la Croix du Sacrifice se trouvent les tombes des premiers tombés (= cimetière avant).

Le cimetière militaire de Lijssenthoek est le témoin impressionnant de plus de quatre ans de violence de guerre. Le plus grand hôpital d'évacuation du saillant d'Ypres était situé dans le hameau de Lijssenthoek de 1915 à 1920. Aujourd'hui, le cimetière reflète la Grande Guerre. Le centre d'accueil raconte l'histoire de ce site unique.Photo du centre d'accueil des visiteurs de Lijssenthoek prise par Michaël Depestele

L'histoire de Remy Siding, un groupe d'hôpitaux d'évacuation qui a marqué l'histoire, à la fois militaire et médicale.L'histoire du cimetière militaire de Lijssenthoek, le plus grand cimetière hospitalier, 10 784 tombes, 30 nationalités.La chronologie, avec un graphique du cimetière, placé dans le contexte de la Grande Guerre, des événements et des non-événements dans le Saillant d'Ypres, Poperinge et Lijssenthoek.panneau d'information Remy Siding
Recherchez dans la base de données un nom, un régiment, un bataillon. Trouver l'emplacement exact d'une pierre tombale. Parcourez les agendas des hôpitaux. Visionnez les diaporamas, les dons et les objets archéologiques. Ressentez l'ambiance du va-et-vient des trains.Source : lijssenthoek.be/nl/pagina/160/visitorscentrum.html

« ComingWorldRememberMe » était le projet d'art visuel au sein de GoneWest, le programme culturel de la Province de Flandre occidentale pour la commémoration de la Première Guerre mondiale. Le projet a été développé par l'asbl Kunst et Koen Vanmechelen.Au cours des cinq années commémoratives, de 2014 à 2018, des ateliers et des ateliers d'expérience ont été organisés dans le but de réaliser 600 000 sculptures en argile. Chaque statue représente l'une des victimes ayant perdu la vie en Belgique pendant la Première Guerre mondiale. 150 000 participants individuels ont réalisé une ou plusieurs statuettes. Les bénéfices sont allés à des associations caritatives en Afrique. Les 600 000 figurines ont été placées par des bénévoles et des groupes dans le no man's land du Palingbeek à partir de février 2018. La construction a duré près de deux mois.Entre le 30 mars et le 11 novembre 2018, les visiteurs ont pu voir l'installation de 3 hectares. L'exposition '600 000 figurines - 600 000 noms' pouvait compter sur environ 213 5000 visiteurs. Après le 11 novembre, 400 000 figurines ont été distribuées aux visiteurs et aux fabricants de figurines. Les petites figurines qui coulaient de l'œuf n'étaient pas divisées.Le grand œuf primitif, qui se tenait au milieu du no man's land pendant les années de commémoration, est à nouveau au centre de cet endroit.
Les figurines sortent de l'œuf primitif, de manière organique, presque comme lors d'une naissance.
L'ensemble forme la carte du monde, dans laquelle tous les continents sont reliés les uns aux autres. Les figurines elles-mêmes forment le piédestal. Ils se soutiennent, se tiennent sur les épaules, les grands soutiennent les petits.Cela vaut vraiment la peine d'appuyer sur le bouton de pause ici.La nouvelle installation est située dans une zone verte, située le long de l'allée menant au parking de la Palingbeekstraat.

Tout d'abord, il est recommandé de visiter d'abord le centre d'accueil des visiteurs du cimetière militaire de Lijssenthoek. Cette visite est GRATUITE.
Lors de votre visite, vous avez immédiatement une idée de la grandeur et de l'importance de cet endroit sur le front occidental.
Après votre visite, marchez le long de la rue jusqu'au cimetière. De cette façon, vous passez une chronologie sous la forme de poteaux rouillés '14 - '18. Ces messages font référence au nombre de morts par jour pendant toute la période de guerre. Si vous portez une attention particulière ou recherchez, vous pouvez trouver les principales offensives dans la chronologie. Malheureusement, cela a entraîné une augmentation du nombre de morts ce jour-là ou les jours suivants. Une fois dans le cimetière, vous serez submergé par la quantité de pierres tombales de ceux qui n'y sont pas parvenus. En ce sens, ce cimetière reflète l'agitation d'un hôpital. Les hôpitaux voisins avaient des milliers de lits. Heureusement, beaucoup l'ont fait... Vaut vraiment le détour et pour voir les conséquences d'une guerre folle. Nous avons été personnellement touchés par les 2 derniers décédés à l'hôpital les 07/11/1918 & 11/11/1918. Ces dates se trouvent être notre anniversaire tant d'années plus tard. Les morts sont même enterrés côte à côte. Cette découverte donne encore une sensation étrange. Ou coïncidence ???
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Un site unique où vous pourrez découvrir l'histoire de Lange Max.
Le musée Lange Max qui l'accompagne vous offre une expérience et un aperçu uniques du côté allemand. Un must pour tous ceux qui s'intéressent à la Première Guerre mondiale.Ce musée est UNIQUE en Flandre. Il met en lumière la vie quotidienne des soldats allemands et leurs relations avec la population civile. L'énorme appareil logistique derrière la guerre est expliqué en détail. L'histoire de Lange Max est très intéressante et ne peut être vécue que là-bas. En d'autres termes, un musée petit mais TOP qui ne devrait certainement pas manquer dans toute l'histoire de la Première Guerre mondiale. Le prix d'entrée est démocratique et le support audio est certainement recommandé. La cafétéria qui l'accompagne est un endroit confortable pour méditer autour d'une délicieuse tasse de café ou de Kanonbier. CE MUSÉE EST FORTEMENT RECOMMANDÉ

Avant de visiter le cimetière de Tyne Cot, prenez le temps de vous familiariser avec le bâtiment d'accueil - zone d'expérience.

En tant que visiteur, vous découvrez l'horreur de la bataille de Passchendaele de différentes manières pédagogiques. Le cimetière de Tyne Cot est le plus grand cimetière militaire britannique d'Europe continentale.

Talbot House, tout le monde est le bienvenu avec paiement 😜
J'ai visité Talbot House il y a longtemps quand c'était encore gratuit. Maintenant, l'emplacement a été agrandi avec un musée très intéressant et utile. N'oubliez pas le dernier étage, où le théâtre était autrefois joué par des soldats. Maintenant, vous avez la possibilité de vivre à nouveau cette expérience. Une fois à l'extérieur du bâtiment du musée, vous entrez dans le jardin Talbot = une oasis de paix dans le centre de Poperinge. De l'autre côté du bâtiment du musée se trouve un autre petit bâtiment qui sert également d'espace d'exposition. Ça vaut aussi l'effort. Dans la maison Talbot, vous serez accueillis par l'hospitalité anglaise. Accueil avec thé que vous pourrez déguster à l'intérieur ou en terrasse aux beaux jours. Assurez-vous de regarder la porte d'entrée. Sur la droite se trouve un cadre contre le mur avec une carte d'ensemble de la ligne de front. Pendant la période de guerre, de nombreux visiteurs de la maison Talbot ont partagé leurs expériences avec d'autres compagnons d'infortune. Les taches sombres sur la carte indiquent où des batailles féroces ont eu lieu à plusieurs reprises. N'oubliez pas de visiter le tout dernier étage. Un escalier raide en bois mène à une salle de contemplation. Des centaines de milliers de personnes vous ont précédé pendant les années de guerre. En témoignent les marches usées de l'escalier. Entrez-y en toute dignité. La Maison Talbot est encore aujourd'hui un lieu de quiétude dans notre monde trépidant. Et vous pourrez vous y détendre, à l'intérieur ou certainement au fond du jardin. Profitez-en.

Dans différents kiosques, vous découvrirez tout sur le passé et le présent du Domaine Provincial De Palingbeek.
Prenez votre temps et plongez dans l'histoire mouvementée du canal tenace.

Juste à l'extérieur du pavillon sur The Bluff se trouve la sculpture Remember Me de l'artiste Koen Vanmechelen : un œuf en bronze avec un bris de verre, qui est symboliquement protégé par un nid de griffes de poulet en bronze. La sculpture contient une clé USB contenant la base de données complète des 600 000 victimes qui ont perdu la vie en Belgique pendant la Première Guerre mondiale.

Un lieu couvert où vous pourrez entendre toute l'histoire de The Bluff de manière audiovisuelle. Cet emplacement est aussi un point d'entrée pour la promenade « Ypres-saillant – Sud ». Découvrez comment le paysage a été mutilé par la machine de guerre sur cette crête étroite et surélevée artificiellement des fouilles du XIXe siècle pour le canal Ypres-Komen. Le canal prévu n'a jamais été réalisé en raison de circonstances au 19ème siècle. Aujourd'hui, sur ce site, plus connu sous le nom de « The Bluff », on peut encore découvrir les cicatrices de la Grande Guerre. C'était le seul endroit sur le front flamand où les Alliés et non les Allemands occupaient les positions les plus élevées.
Le Bluff est un endroit à l'avant où le paysage a beaucoup souffert.
Le Bluf est l'un des paysages de guerre les plus spectaculaires des Flanders Fields, avec de nombreux cratères, grands et petits.

A cet endroit, vous avez une belle vue sur une bande de No Man's Land.
Comme point de repère paysager pour les premières lignes de front, 140 grands arbres ont été plantés le long de la ligne de front dans les champs flamands. Les arbres commémoratifs sont toujours équipés d'un panier d'arbre en métal. Les sites de plantation de béton ont été déterminés après des recherches scientifiques basées sur des photographies aériennes et des recherches cartographiques.
À cet endroit, vous reconnaîtrez clairement un certain nombre d'arbres commémoratifs rouges et bleus au bord du No Man's LandPlus d'infos sur : App Saillant d'Ypres 1914-1918 Arbres Rouge et bleu
Pour reconnaître les arbres commémoratifs, ils ont été équipés d'un panier d'arbre en métal. Ceux-ci sont chacun munis d'un signal de couleur sobre, basé sur l'utilisation des couleurs des cartes de première ligne alliées. Les paniers à faisceau sur la ligne de front britannique ont un bord supérieur bleu, les paniers à faisceau sur la ligne de front allemande ont un bord supérieur rouge. Sur chaque ruche, vous trouverez un panneau d'information avec une photo aérienne historique et l'emplacement de la ligne de front en béton.Source : flandersfields.be/nl/inspiratie/herdenkingsbomen-ieper

Le nom de ce cimetière provient de la terre excavée (berges de déblais) du canal Ypres à Komen, qui servait aux berges de ce canal. Cependant, ce canal n'a jamais été utilisé. Ce cimetière était aussi appelé Chester Farm Lower Cemetery ou Gordon Terrace Cemetery. Il a été utilisé de février 1915 à mars 1918, principalement pour les enterrements du 2nd Suffolks Regiment tombé dans la défense de The Bluff (une partie fortement disputée du front sur le canal Ypres-Komen, à proximité de ce cimetière). Après la guerre, les victimes des champs environnants ont été enterrées.Il y a maintenant 520 soldats enterrés dont 436 Britanniques (dont 113 n'ont pu être identifiés), 68 Australiens (dont 6 n'ont pu être identifiés) et 16 Canadiens (dont 6 n'ont pu être identifiés). Des monuments commémoratifs spéciaux [1] ont été érigés pour 11 morts parce que leurs tombes ne pouvaient plus être localisées et qu'on pense qu'elles se trouvent sous des pierres tombales sans nom. Ces pierres tombales sont placées à gauche et à droite de l'entrée.Nous nous souviendrons du thème

Au coin de la Grote Markt, vous trouverez le 'Free Fatherland Experience Center' dans la City and Country House. Contrairement à d'autres musées, ce musée ne se concentre pas sur les champs de bataille, mais sur le dernier petit morceau de Belgique libre qui restait, le soi-disant « secteur belge ». De là, Albert Ier, alors roi des Belges, parvient à tenir tête à l'occupant allemand.
Vrij Vaderland raconte l'histoire derrière le front, la vie quotidienne dans ce dernier morceau de territoire inoccupé. Découvrez comment Furnes et ses environs ont soudainement dû faire face à un creuset de personnes ; des soldats - de leur pays et de l'étranger -, des médecins, des infirmières, mais aussi des réfugiés se sont retrouvés ici.
Musée de la Première Guerre mondiale : Centre d'expérience "Patrie libre, la vie derrière le front"
Le centre d'expérience présente cette histoire dans une scénographie atmosphérique utilisant à la fois les médias modernes et les techniques d'exposition traditionnelles.
Vaut vraiment le détour et une plongée dans le passé.
Plus d'infos sur vrijvaderland.be

Le bois de mélèze provient d'un bosquet de mélèzes situé juste au sud du cimetière. Des tunnels ont été creusés dans cette zone comme abris, qui en 1917 ont été utilisés comme quartier général et postes médicaux.
Le cimetière est accessible par une route départementale de 160 m et un passage à niveau. De l'entrée, il y a un chemin d'herbe de 80 m jusqu'à la partie avec les tombes. Dans l'axe de ce chemin d'accès, sur le mur sud-ouest se trouve la Croix du Sacrifice et en face la Pierre du Souvenir, flanquée de deux abris en briques.857 morts sont commémorés, dont 321 non identifiés.
Nous nous souviendrons du thème