Un point de vue exceptionnel et sacré

De De sa construction au XIIème siècle, à l’époque où Jonzac dépendait de la paroisse de Saint-Germain-de-Lusignan, l’église ne garde que son clocher roman et son chevet. Pour le reste, elle est le résultat de remaniements considérables qui ont eu lieu d’abord après la guerre de Cent Ans au XVème siècle, où l’église a été très mutilée, et surtout à la fin du XIXème siècle, dans un style néogothique, où elle a pris sa configuration actuelle. Elle est dédiée à saint Germain.
Saint Germain, évêque de Paris (496-576), naquit sans doute en cette partie des Gaules qui est pour nous maintenant la Bourgogne, près d’Autun. On rapporte qu’il fit de fortes études dans les Gaules, puis à Rome. Là, l’empereur Honorius lui aurait conféré de hautes charges pour sa région d’origine. Il y aurait vécu une quinzaine d’années auprès d’un oncle prêtre, avant d’être lui-même ordonné et de devenir abbé du monastère Saint Symphorien à Autun. C’est de là qu’il fut appelé pour être évêque de Paris.
Son zèle à appeler son peuple à la conversion et à la sainteté fut illustré, en particulier, par la conversion du roi Childebert, fils de Clovis et Clotilde. Celui-ci, à l’exemple de Germain, appelé le « Père des pauvres », mit bon ordre à la cour, fit construire l’église et le monastère de Saint Germain des Prés et distribua d’abondantes aumônes. Il meurt à l’âge de 80 ans, en 576.
Il est à noter qu’il existe un autre saint Germain, né vers 378 à Auxerre, dont il fut l’évêque, et mort en 448 à Ravenne, donc bien avant la naissance de Germain de Paris. C’est à celui-ci qu’est dédiée l’église proche du Louvre : Saint Germain l’Auxerrois... C’est lui aussi qui aurait imposé les mains à la jeune Geneviève (v. 422 - v. 502).
Quatre communes en Charente-Maritime portent le nom de Saint Germain, et les églises de Beaugeay et de Varaize sont également sous son patronage. Sa fête est à la date du 28 mai.
sa construction au XIIème siècle, à l’époque où Jonzac dépendait de la paroisse de Saint-Germain-de-Lusignan, l’église ne garde que son clocher roman et son chevet. Pour le reste, elle est le résultat de remaniements considérables qui ont eu lieu d’abord après la guerre de Cent Ans au XVème siècle, où l’église a été très mutilée, et surtout à la fin du XIXème siècle, dans un style néogothique, où elle a pris sa configuration actuelle. Elle est dédiée à saint Germain.
Saint Germain, évêque de Paris (496-576), naquit sans doute en cette partie des Gaules qui est pour nous maintenant la Bourgogne, près d’Autun. On rapporte qu’il fit de fortes études dans les Gaules, puis à Rome. Là, l’empereur Honorius lui aurait conféré de hautes charges pour sa région d’origine. Il y aurait vécu une quinzaine d’années auprès d’un oncle prêtre, avant d’être lui-même ordonné et de devenir abbé du monastère Saint Symphorien à Autun. C’est de là qu’il fut appelé pour être évêque de Paris.
Son zèle à appeler son peuple à la conversion et à la sainteté fut illustré, en particulier, par la conversion du roi Childebert, fils de Clovis et Clotilde. Celui-ci, à l’exemple de Germain, appelé le « Père des pauvres », mit bon ordre à la cour, fit construire l’église et le monastère de Saint Germain des Prés et distribua d’abondantes aumônes. Il meurt à l’âge de 80 ans, en 576.
Il est à noter qu’il existe un autre saint Germain, né vers 378 à Auxerre, dont il fut l’évêque, et mort en 448 à Ravenne, donc bien avant la naissance de Germain de Paris. C’est à celui-ci qu’est dédiée l’église proche du Louvre : Saint Germain l’Auxerrois... C’est lui aussi qui aurait imposé les mains à la jeune Geneviève (v. 422 - v. 502).
Quatre communes en Charente-Maritime portent le nom de Saint Germain, et les églises de Beaugeay et de Varaize sont également sous son patronage. Sa fête est à la date du 28 mai.

Il y a un parc pour les enfants super